Licenciements, faillites, rachats. Le digital learning n’échappe pas au ralentissement généralisé de la Tech depuis la fin de la pandémie. La guerre en Ukraine a été un choc. Les grands fonds d’investissements ne soutiennent plus des start-up qui ne sont pas rentables. Certaines entreprises du secteur, basées sur un modèle économique défaillant et sensible aux variations du marché, s’apprêtent donc à baisser le rideau. Chez Dokeos, cela n’arrivera pas. Pourquoi ? Parce que depuis 2004, date de sa création, Dokeos est financée sur fonds propres et refuse toute levée de fonds. Et cela change tout : notre vision à long terme, l’attention portée à tous nos clients, une réelle garantie de confidentialité, le respect de nos valeurs.
Le climat est morose dans la Tech. 134.000 licenciements annoncés depuis le 1er janvier dans l’informatique aux Etats-Unis ! 80.000 employés avaient déjà été virés en 2022. Amazon, Google, Meta et Microsoft cumulent à eux seuls 51.000 suppressions de poste. Ce sont au total plus de 200 entreprises du secteur qui ont mis en place un plan de départs forcés.
Plusieurs facteurs expliquent la brutalité de ces décisions : l’inflation, la crise énergétique et la baisse de la demande dans un contexte post-pandémique. Depuis la guerre en Ukraine, les fonds d’investissement ont donc réduit considérablement l’accès aux capitaux. Car il leur est impossible de soutenir des modèles qui ne sont pas rentables.
Un modèle non rentable : les conséquences dramatiques pour les clients
Si la croissance française semble avoir plus que résisté en 2022 (2.6 %), il n’en reste pas moins que la Tech française et ses multiples start-up sont aussi considérablement impactées aujourd’hui. Fragilisation, ralentissement des levées de fonds, décrue des valorisations : la solidité des entreprises de la Tech en France est toute relative. Car le business model de certaines d’entre elles n’est tout simplement pas rentable. Et les fonds d’investissement l’ont bien compris.
Et du côté du digital learning, l’atmosphère est similaire avec des rumeurs insistantes sur la faillite de certaines plateformes LMS qui ont tout misé sur les levées de fonds et qui ne parviennent toujours pas à dégager de la rentabilité. Ce sont d’autres encore qui pourraient se faire racheter par d’autres fournisseurs LMS.
Imaginez : vous êtes gérant d’un organisme de formation et vous avez embauché des formateurs en e-learning, vous avez investi personnellement des milliers d’euros dans la création de formations ? Vous êtes responsable RH d’une PME, ETI ou d’un grand groupe et vous avez créé laborieusement pendant des milliers d’heures plusieurs formations pour vos équipes sur votre plateforme ? Et là, votre fournisseur LMS vous plante littéralement. Le coût pour vous, les clients, est catastrophique. Tout votre travail, votre activité seront réduits à néant. Second scénario, votre fournisseur LMS est racheté par un autre LMS. Le résultat ? Tous vos process, vos habitudes, vos activités seront dégradés. Et vos apprenants seront insatisfaits.
Levée de fonds : « le client perd de son pouvoir de décision »
Ouvrir son capital à des investisseurs, c’est perdre le contrôle sur son entreprise, explique d’abord Thomas De Praetere, CEO de Dokeos. Steve Jobs est viré en 1985 par le conseil d’administration de Apple. Les entreprises qui lèvent des fonds sont en effet tenues de suivre une roadmap spécifique installée par les actionnaires. Il est impossible d’établir des développements sur mesure pour un client si on doit respecter une roadmap définie par les actionnaires.
Certaines d’entre elles, financées par des géants américains tels que Goldman Sachs ou encore Google Ventures, sont forcées d’utiliser dans leur plateforme de formations les services de leurs propres investisseurs. Par conséquent « le client perd de son pouvoir de décision », estime Thomas.
C’est tout l’inverse chez Dokeos. Notre agenda, c’est l’agenda de notre client. Nous gagnons en agilité et nous avons les moyens de personnaliser les besoins de chaque firme. Nous sommes exclusivement à l’écoute de nos clients, pas de nos investisseurs. Et c’est ça qui fait la différence.
Investisseurs = pillage légal de vos données
Dans quelle mesure les clients sont-ils libres de choisir un fournisseur de hosting ? Si de tels géants investissent dans le capital de votre fournisseur LMS, quelles garanties avez-vous sur la localisation et le partage de vos données ? Un LMS collecte des données précises et très valorisables sur les compétences de chacun dans une organisation. Du contenu très sensible qui permettrait à de telles organisations de faire concurrence à votre firme.
Imaginez par exemple, Golman Sachs qui investit quelques millions d’euros dans votre plateforme LMS. Très certainement, certains membres de la banque américaine parviendront à être désignés au conseil d’administration du LMS. La politique de confidentialité de votre fournisseur indique que vos données sont traitées dans le seul but de vous fournir le meilleur service possible. Pourtant vos données peuvent toutefois être partagées avec des « entités internes » de la plateforme. Le ver est dans le fruit. L’ensemble du conseil d’administration de votre fournisseur LMS aura accès à vos données qui pourront être réutilisées contre vous.
Un système de pillage légal contre lequel Thomas De Praetere s’élève régulièrement. Financé sur fonds propres, Dokeos ne s’adonne pas à ces pratiques. Au contraire, Dokeos LMS est la seule plateforme à héberger les données de formation de ses clients en Europe. Nous refusons ainsi toute captation de données.
Levée de fonds, un modèle économique défaillant ?
Le miroir aux alouettes. Ces dernières années, plusieurs « fleurons de l’EdTech française » ont levé des dizaines de millions d’euros auprès d’investisseurs. Ce qui n’impressionne guère Thomas de Praetere : « si on est financé par des investisseurs, cela signifique qu’on n’a pas de client » résume-t-il.
Les préoccupations premières de ces nouveaux investisseurs sont-elles réellement l’amélioration de la qualité du LMS ? L’accompagnement personnalisé du client ? La qualité du contenu de formations sur étagère ? Non, non et non. C’est clairement la rentabilité, la réduction des coûts, la captation du client qui prime chez leurs actionnaires qui souhaitent rapidement récupérer leurs billes et dégager davantage de dividendes. Une logique aussi court-termiste est donc incompatible avec le renforcement qualitatif de votre plateforme en ligne. Et incompatible avec la durabilité de l’entreprise elle-même. Thomas souligne ainsi que Dokeos « ne soigne pas des dividendes ». Le tarif de Dokeos est donc automatiquement moins cher. Et donc plus durable.
Autre point, mais tout aussi décisif. Le digital learning n’est pas un marché révolutionnaire, où une start-up accompagnée de gros investisseurs pourra en trois ans récupérer la majorité des parts du marché. Investir 10 millions supplémentaires, recruter 50 sales de plus ne vont pas automatiquement faire gagner des parts de marché exponentielles. En effet, le marché des plateformes LMS est un secteur sensible où les entreprises investissent d’énormes ressources humaines et financières et il est complexe d’accélérer la cadence commerciale. Ainsi le modèle start-up, licorne avec 200 % de croissance en trois ans, n’est clairement pas adapté pour les fournisseurs LMS.
Avec Dokeos, rassurez-vous, vous n’aurez rien de tout cela. On vous explique pourquoi.
Pourquoi Dokeos est le meilleur LMS
Dokeos LMS, c’est d’abord l’histoire d’un visionnaire, Thomas de Praetere qui conçoit un LMS dès 1999 à l’université catholique de Louvain avant de le commercialiser en 2004 avec le lancement de Dokeos. La petite start-up des débuts de l’e-learning est devenue 20 ans plus tard le leader du marché en France. Depuis l’entreprise s’est développée sereinement, a quadruplé ses effectifs de départ mais a conservé un visage humain et adapté à chacun de ses clients.
Dokeos, c’est donc un financement sur fonds propres depuis 2004, ce qui implique une plus grande solidité financière, une fidélité accrue pour nos clients et une expérience de longue date au service de la formation professionnelle. Nous ne sommes pas détenus par des investisseurs, ni des actionnaires à qui reverser des dividendes démentiels à la fin de l’année au détriment de la qualité du service et de la loyauté vis-à-vis de nos clients. Nous avons justement dressé un comparatif de LMS en France et le résultat est sans appel.
Ce n’est pas la taille du portefeuille qui compte, c’est le modèle de financement qui va conditionner la durabilité de l’entreprise. Si le LMS que vous avez acheté s’effondre, les conséquences pour votre organisation seront énormes. Quand vous acquérez un droit d’usage sur un logiciel, la question de la durabilité est donc centrale. Avant de faire votre choix de LMS, posez-vous donc ces questions : Cette entreprise est-elle rentable ? Gagne-t-elle plus qu’elle ne dépense ? Avec quel argent vont-ils rembourser ces levées de fonds ? Cette entreprise est-elle liée à des investisseurs ?
Alors quelle est la recette de Dokeos ? : « Dokeos est financé par ses clients parce que nous sommes bons. Chaque année, Dokeos est rentable. Le problème de l’entreprise qui lève des fonds, c’est qu’elle perd le contact avec le marché et avec ses clients. »
Intéressé ? Dokeos LMS vous propose un essai gratuit. Alors rejoignez-nous !
